- Bonsoir ! Tu vas bien ?
- Ca dépend de quoi on parle...
- Ha bon ? ça ne va pas ? Tu ne vends pas de seaux (s'inquiète la dame qui, très prosaïquement, vient de faire un chèque à l'orthodontiste),
- Si, si (ouf de la dame), MAIS MON BATEAU, ALORS LA, JE TE REMERCIE ! Parce que je suis planté dans le pot-aux-noirs, et que j'ai perdu 8234 places ! Tu m'as fait aller ...
- J'ai rien fait !!!
-... là où il ne FALLAIT PAS que j'aille, et maintenant....
- Ben et moi, hein, je ne sais même pas si je vais être diplômée (pour les détails, voyez "orthophonie en péril" et l'avancement douteux de mon mémoire) et pis l'éducation nationale elle ne va pas mieux que ton rafiot, mais en moins virtuel, et pis la France va maaaaaaal et l'euro va être dévalué et on népadanlamerdalors hein, tu sais ce que j'en fais de ton rafiot ???
- Essaie pas de toucher à mon bateau ! (ton adapté et terrifiant).
Je fais profil bas, mais je vous parie que je n'ai pas fini d'entendre parler de ma très grande faute.
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1 commentaire:
"la très grande "fôôte" (laquelle au fait ?)il semblerait, toutefois que cela soit toujours la faute de quelqu'un, que diantre! (merci la morale judéo-chrétienne et autres corrélats et épiphénomènes du genre), sinon comment arriverait-on à vivre ? Non mais ! Donc c'est de ta faute de ta très grande faute !!!!
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