Ça devait arriver.
Le virtuel a ses limites. Et quand un aficionado de la garcette passe des années à navigouiller de mouillage en port avec son équipière limitée, tout en compensant sa frustration en faisant le tour de la Terre sur son ordinateur, vient un moment où prendre le large le titille très fort.
Pour les lecteurs woke : mon mâle attitré, sexagénaire blanc cisgenre crypto-socio-capitaliste, a désormais assez de fonds (en euro, malheureusement), pour me laisser bosser un mois et demi pendant qu'il vogue de Bonifacio à la Guadeloupe.
Pour les lecteurs lambda : mon mari va vivre son rêve, ce qui me réjouit.
Et ce qui me réjouit encore plus, c'est que je vais pouvoir écrire plein de conneries sur lui pendant qu'il a le dos tourné.
J-20.
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