Aujourd'hui, je fais la révolution toute seule devant mon écran et c'est tout. En confirmant que naviguer en eaux troubles, c'est pénible.
Bienheureux lecteurs, un direct live sans oreillette : mon cadet, essayant de s'asseoir sur les genoux de son père, déclenche une réaction vive (les genoux en question sont en porte-à-faux) : "ha, non, arrête, regarde, tu vas casser les jambes de Papa et ça va être pire que Yann Eliès".
On croit rêver...
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samedi 20 décembre 2008
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2 commentaires:
Et voilà un cadet qui, peut-être, dans quelques années détestera tout ce qui se rapporte à une quelconque régate en raison d'une frustration et d'une culpabilité intense.
Oups !
Pour sûr que quand même on n'imaginait pas que la simulation pouvait aller jusqu'à la jambe cassée.
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