Bernard Poiteau a terminé son Vendée Globe. Quand je pense qu'il n'était, dans le Pacifique, qu'à une journée devant moi, je me dis que j'ai sérieusement merdouillé dans l'hémisphère sud. Parce que je viens à peine de (re)passer l'équateur et que je navigue vers les Açores dont je ne dirai jamais assez de bien.
Bernard va pouvoir quitter son Corsaire fantassin, son Imoca virtuel Anticyclone (Molin-Molette), retrouver son épouse abandonnée sur les quais d'un port de la Haute-Loire et délaisser le Pilat, le temps d'une virée au bord de la mer, qui sait ?
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