samedi 14 février 2009

Et l'existence aura ma peau, forcément.

La dernière phrase du commentaire sur Heidegger (cf. infra, op.cit. et ibidem, etc, etc) inspire au skipper de Lovict des réflexions qui n'ont pas grand chose à voir avec la méditation phénoménologique. Mais sont assez franchement imprégnées de phéromones.
Bien, bien, bien... Il se fait tard, non ?

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Effectivement, l'existence a par définition toujours "la peau" du vivant ! Naître, ontologiquement parlant, c'est attraper une maladie mortelle et incurable, mais bon !
encore jeudi alias&oromë etc..etc...