Jean Le Cam est sauf, après avoir sanci dans les Hurlants. Sauvé par son copain, Vincent Riou (il ne faut pas croire, je suis aussi renseignée que n'importe quel matelot). Ce n'est pas Pince-mi-pince-moi ou Enif (je ne parle même pas de Bob Cramer, qui caracole sans états d'âme dans le peloton de ceux qui ont le temps), qui se seraient détournés pour arracher Lovict aux hauts fonds de Macquarie. Je pense que la prochaine régate virtuelle devrait prévoir des fortunes de mer aussi personnalisées qu'aléatoires, sanctionnées par une disqualification en bonne et due forme avec interdiction de reprendre la course. Les concepteurs des jeux numériques n'en étant pas moins hommes, je serais étonnée s'ils n'acceptaient pas, sous certaines conditions en euros dans le texte, de rendre un peu moins hasardeux les virtuels naufrages.
Soeurs de misère, femmes de marins mes amies, vous avez quatre ans pour remplir vos bas de laine.
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mercredi 7 janvier 2009
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